ARTISTE INVITÉ JULIO LE PARC
EXCEPTIONNEL
BERINAKS E N P E R EST PÉE SUR NIVE
30.5>14.6
LesVitrines III 2015
ARTE GARAIKIDE IBILBIDEA
PARCOURS D’ART CONTEMPORAIN
UNE BIENNALE
UNE THEMATIQUE
CONVERGENCE
Le parcours d’art contemporain BERINAK/Les Vitrines interroge la création actuelle sur sa capa-
cité à être le résultat d’un échange, d’une rencontre, d’une relation créatrice, pouvant influer sur le
processus même de réalisation ou de monstration de l’œuvre. Un lien tissé, qui s’apprécie dans le
rapport né entre publics et intervenants, artistes et commissaires, partenaires, entreprises, écoles...
Tous acteurs d’un même moment à SENPERE, à DONOSTI, sur internet. Au cœur d’un village la-
bourdin, entre Pyrénées du nord et du sud, le patrimoine basque s’impose au regard avec la force
de l’évidence. C’est dans ce cadre, que nous invitons créateurs d’ici et d’ailleurs à engager un
échange avec la société basque d’aujourd’hui.
Ici, le lien familial, vu sous le prisme des LE PARC, Julio, le père ; Juan, le fils et Eli, la belle fille, trois rapports à la conception contemporaine. Un vécu commun et des parcours artistiques singuliers, partagés le temps de l’exposition, en guise de clin d’œil à la société basque.
Et là, trois itinéraires d’artistes qui s’ancrent, ici, au Pays Basque et se poursuit là-bas. Trois chemi- nements créatifs qui se croisent et s’affichent à SENPERE sur la place du village : Gonzalo ETCHE- BARRIA de BIZKAI, à XIBERU ; Bertrand DEZOTEUX de BAIONA à PARIS et les IBAR Maia et Baptiste, entre NEW YORK et MIARRITZE, se prêterons à cette comparaison.
La convergence donc est au cœur de BERINAK, avec artistes, œuvres, publics qui se rencontrent. Au cœur de ce territoire aussi, transfrontalier et fruit d’un échange permanent entre basques d’ici et « d’à cotés ». Un lien culturel fort qui rassemble au sein d’une même famille la pluralité de ses membres.
“Lotu”, est comme pour mieux représenter cette réciprocité, une performance participative et inte- ractive créée en lien avec l’espace REFLEX , lieu d’art contemporain basé à DONOSTI. Pendant le vernissage du samedi 30 mai 2015, la création de cette œuvre, retransmise en direct via le net, incarnera la volonté d’une mise en réseau, entre un public Donostiar, qui assistera à l’événement depuis un bar, un commerce... et les performances du parcours BERINAK. Une action commun partagée des deux côtés de la frontière, tel un pont tracé entre l’Hegoalde et l’Iparralde, l’urbain et le rural, le virtuel et le réel et souhaitant lier par l’acte, le regard, l’écoute ou la pensée des réalités, des lieux et des publics multiples à SENPERE, à DONOSTI, mais aussi au-delà dans le monde, via le net et les euskal etxe partenaires.
Des œuvres vidéo venant du FRAC Aquitain viendront compléter ces créations et seront diffusés le long des deux semaines du parcours.
Le Parcours d’art contemporain BERINAK/LesVitrines déplace la création de convergences dans le champs artistique et place la pratique plastique actuelle comme intermédiaire et moteur possible d’un développement, au sein d’un territoire riche et particulier celui d’un village au Pays Basque.
Ici, le lien familial, vu sous le prisme des LE PARC, Julio, le père ; Juan, le fils et Eli, la belle fille, trois rapports à la conception contemporaine. Un vécu commun et des parcours artistiques singuliers, partagés le temps de l’exposition, en guise de clin d’œil à la société basque.
Et là, trois itinéraires d’artistes qui s’ancrent, ici, au Pays Basque et se poursuit là-bas. Trois chemi- nements créatifs qui se croisent et s’affichent à SENPERE sur la place du village : Gonzalo ETCHE- BARRIA de BIZKAI, à XIBERU ; Bertrand DEZOTEUX de BAIONA à PARIS et les IBAR Maia et Baptiste, entre NEW YORK et MIARRITZE, se prêterons à cette comparaison.
La convergence donc est au cœur de BERINAK, avec artistes, œuvres, publics qui se rencontrent. Au cœur de ce territoire aussi, transfrontalier et fruit d’un échange permanent entre basques d’ici et « d’à cotés ». Un lien culturel fort qui rassemble au sein d’une même famille la pluralité de ses membres.
“Lotu”, est comme pour mieux représenter cette réciprocité, une performance participative et inte- ractive créée en lien avec l’espace REFLEX , lieu d’art contemporain basé à DONOSTI. Pendant le vernissage du samedi 30 mai 2015, la création de cette œuvre, retransmise en direct via le net, incarnera la volonté d’une mise en réseau, entre un public Donostiar, qui assistera à l’événement depuis un bar, un commerce... et les performances du parcours BERINAK. Une action commun partagée des deux côtés de la frontière, tel un pont tracé entre l’Hegoalde et l’Iparralde, l’urbain et le rural, le virtuel et le réel et souhaitant lier par l’acte, le regard, l’écoute ou la pensée des réalités, des lieux et des publics multiples à SENPERE, à DONOSTI, mais aussi au-delà dans le monde, via le net et les euskal etxe partenaires.
Des œuvres vidéo venant du FRAC Aquitain viendront compléter ces créations et seront diffusés le long des deux semaines du parcours.
Le Parcours d’art contemporain BERINAK/LesVitrines déplace la création de convergences dans le champs artistique et place la pratique plastique actuelle comme intermédiaire et moteur possible d’un développement, au sein d’un territoire riche et particulier celui d’un village au Pays Basque.
BERINAK III
PROGRAMMATION
PREVERNISSAGE // vendredi 22 mai 2015
ESPACIO REFLEX, DONOSTI/San Sebastian à partir de 18h00 Mise en place de l’oeuvre participative « LOTU »
Présentation des artistes du Parcours en présence de ceux-ci Performance/Concerts, triangle holographique
PARCOURS ART CONTEMPORAIN // du 30 mai au 15 juin 2015
Julio Le Parc > Eglise
Eli Jimenez Le Parc > Centre ville
Gonzalo Etchebarria > Parc des Berges
Maia et Baptiste IBAR > Ecole Saint Joseph
Bertrand Dezoteux > Fronton
Anouck Durand Gasselin et Laurent Redoules > Fronton
Partenaires BERINAK/LesVitrines
Espacio REFLEX > volume, La Médiatèque Transfrontalière
Frac Aquitaine > vidéos de Marcos Avila Forero et de Ferhat Ozgur
VERNISSAGE // samedi 30 mai 2015
PERFORMANCES > à partir de 16h, Eglise, rue principale et Fronton Bertsulari > Maialen Lujanbio / Jon Maia / Xumai Murua /
Eneritz Zabaleta. Gaiemaile : Jose Goikoetxea
Ttotelka > Mintxo Garcia / Pablo Zaratiegui
Txalaparta électronique et mobile
Zoa Xeper, compagnie de danse barcelonaise > Joana Olasagasti Improvisation dansée
Pascale Ferrari > Installation culinaire
CONCERTS ET PERFORMANCE > à partir de 20h30, Salle Larreko Juan Le Parc > « Shadow Light » performance lumière
Dual Split > concert électronique
Ziiig > mixe son et vidéo, oeuvre participative « LOTU »
RENCONTRE // samedi 7 juin 2015
Débats > à partir de 17h00, Café Arrocena
« Création contemporaine au Pays Basque » B.Dezoteux, M. et B. Ibar et G. Etxebarria Improvisations ; Eneritz Zabaleta et Xumai Murua
ATELIERS du 25 au 29 mai 2015
Juan Le Parc, adultes, pratiques plastiques
et préparation de sa performance
Pascale Ferrari, adultes, enfants, ballades culinaires,
ATELIERS bilingue du mercredi 3 et 10 juin 2015
A-M. Jeannou et I. Viquendi, autour de l’oeuvre de Gonzalo Etchebarria.
MEDIATION bilingue
Ouverte à tous durant le Parcours sur rendez-vous
ESPACIO REFLEX, DONOSTI/San Sebastian à partir de 18h00 Mise en place de l’oeuvre participative « LOTU »
Présentation des artistes du Parcours en présence de ceux-ci Performance/Concerts, triangle holographique
PARCOURS ART CONTEMPORAIN // du 30 mai au 15 juin 2015
Julio Le Parc > Eglise
Eli Jimenez Le Parc > Centre ville
Gonzalo Etchebarria > Parc des Berges
Maia et Baptiste IBAR > Ecole Saint Joseph
Bertrand Dezoteux > Fronton
Anouck Durand Gasselin et Laurent Redoules > Fronton
Partenaires BERINAK/LesVitrines
Espacio REFLEX > volume, La Médiatèque Transfrontalière
Frac Aquitaine > vidéos de Marcos Avila Forero et de Ferhat Ozgur
VERNISSAGE // samedi 30 mai 2015
PERFORMANCES > à partir de 16h, Eglise, rue principale et Fronton Bertsulari > Maialen Lujanbio / Jon Maia / Xumai Murua /
Eneritz Zabaleta. Gaiemaile : Jose Goikoetxea
Ttotelka > Mintxo Garcia / Pablo Zaratiegui
Txalaparta électronique et mobile
Zoa Xeper, compagnie de danse barcelonaise > Joana Olasagasti Improvisation dansée
Pascale Ferrari > Installation culinaire
CONCERTS ET PERFORMANCE > à partir de 20h30, Salle Larreko Juan Le Parc > « Shadow Light » performance lumière
Dual Split > concert électronique
Ziiig > mixe son et vidéo, oeuvre participative « LOTU »
RENCONTRE // samedi 7 juin 2015
Débats > à partir de 17h00, Café Arrocena
« Création contemporaine au Pays Basque » B.Dezoteux, M. et B. Ibar et G. Etxebarria Improvisations ; Eneritz Zabaleta et Xumai Murua
ATELIERS du 25 au 29 mai 2015
Juan Le Parc, adultes, pratiques plastiques
et préparation de sa performance
Pascale Ferrari, adultes, enfants, ballades culinaires,
ATELIERS bilingue du mercredi 3 et 10 juin 2015
A-M. Jeannou et I. Viquendi, autour de l’oeuvre de Gonzalo Etchebarria.
MEDIATION bilingue
Ouverte à tous durant le Parcours sur rendez-vous
BERINAK III
INSTALLATION
JULIO LE PARC
vit et travaille à Cachan http://www.julioleparc.org/
Au cours des années 60, notamment au sein du GRAV, Julio LE PARC a initié nombre de modalités esthétiques contemporains, sur la dématérialisation, le trouble percep- tif, la réduction formelle, la lumière artificielle, les environ- nements, l’implication du spectateur ou encore les seuils de la vision.
D’autres travaux historiques de Le Parc, mis en avant ré- cemment à la Serpentine Gallery à Londres, au MOCA à Los Angeles ou au Palais de Tokyo à Paris, ont montré la spécificité d’un langage aussi minimaliste que labyrin- thique, systématiquement à contre pied de la composition classique, fût-elle abstraite, et du spectacle total.
Entre vertige et agressions conjointes contre la forme et la rétine, les oeuvres de Le Parc ne cessent alternativement, de s’imposer et d’échapper au regard.
INSTALLATION / EGLISE ST PIERRE
L’expérience esthétique s’éprouve aux contacts des instal- lations de Julio Le Parc.
Proposer une oeuvre originale lumière dans un lieu non conventionnel à la diffusion d’art contemporain comme l’Eglise St Pierre de Senpere permet d’établir des ren- contres aux dimensions multiples, esthétiques, spiri- tuelles...
La perception comme véritable enjeu qui place le regard du spectateur venant ou non pour voir cette installation in situ.
PERFORMANCE / BERTSULARI
Lors du vernissage du samedi 30 mai à 16h00, les bertsularis les plus emblématiques de la nouvelle scène basque viendront répondre par une déclamation scandée au schéma métrique de l’oeuvre de Julio Le Parc.
Au cours des années 60, notamment au sein du GRAV, Julio LE PARC a initié nombre de modalités esthétiques contemporains, sur la dématérialisation, le trouble percep- tif, la réduction formelle, la lumière artificielle, les environ- nements, l’implication du spectateur ou encore les seuils de la vision.
D’autres travaux historiques de Le Parc, mis en avant ré- cemment à la Serpentine Gallery à Londres, au MOCA à Los Angeles ou au Palais de Tokyo à Paris, ont montré la spécificité d’un langage aussi minimaliste que labyrin- thique, systématiquement à contre pied de la composition classique, fût-elle abstraite, et du spectacle total.
Entre vertige et agressions conjointes contre la forme et la rétine, les oeuvres de Le Parc ne cessent alternativement, de s’imposer et d’échapper au regard.
INSTALLATION / EGLISE ST PIERRE
L’expérience esthétique s’éprouve aux contacts des instal- lations de Julio Le Parc.
Proposer une oeuvre originale lumière dans un lieu non conventionnel à la diffusion d’art contemporain comme l’Eglise St Pierre de Senpere permet d’établir des ren- contres aux dimensions multiples, esthétiques, spiri- tuelles...
La perception comme véritable enjeu qui place le regard du spectateur venant ou non pour voir cette installation in situ.
PERFORMANCE / BERTSULARI
Lors du vernissage du samedi 30 mai à 16h00, les bertsularis les plus emblématiques de la nouvelle scène basque viendront répondre par une déclamation scandée au schéma métrique de l’oeuvre de Julio Le Parc.
BERINAK III
INSTALLATION
GONZALO ETXEBARRIA
vit et travaille à Barcus, en Soule gonzaloetxebarria.blogspot.com/
Né à Bilbao en 1954, le parcours de Gonzalo Etxebarria commence par l’école d’architecture de Madrid, passe par l’école d’art de Deba sous l’égide de Jorge Oteiza pour se retrouver dans la création du groupe Uztaro à Menditte.
Libre dans sa créativité, tirant sa force de son indépendance et de son imaginaire, Gonzalo traduit ses préoccupations plastiques à travers la polysémie des images, et la dialectique qui s’établit
entre le «rationnel» et le chaos.
INSTALLATION / PARC DES BERGES panneau «publicitaire» de 6/8 m
L’affichage est une forme de communication commerciale omniprésente dans nos vies.
Il s’agit d’une forme de publicité orienté vers le consommateur. Quoi qu’on en pense,
l’affichage fait partie du paysage contemporain. Détourner le panneau publicitaire de sa première fonction de média d’information à un univers de poésie singulière, celui des peintures de Gonzalo. Nous permets de déplacer le point de vue du paysage actuel par des éléments picturaux abstraits qui côtoient la figuration pour que l’imaginaire qui réinvestit le réel.
ATELIERS / MAISON DES ASSOCIATIONS mercredi 3 et 10 juin 2015
Deux ateliers seront proposés aux enfants sur le thème de l’affichage, de l’utilisation de ce support pour déplacer la promotion à la poésie du paysage.
vit et travaille à Barcus, en Soule gonzaloetxebarria.blogspot.com/
Né à Bilbao en 1954, le parcours de Gonzalo Etxebarria commence par l’école d’architecture de Madrid, passe par l’école d’art de Deba sous l’égide de Jorge Oteiza pour se retrouver dans la création du groupe Uztaro à Menditte.
Libre dans sa créativité, tirant sa force de son indépendance et de son imaginaire, Gonzalo traduit ses préoccupations plastiques à travers la polysémie des images, et la dialectique qui s’établit
entre le «rationnel» et le chaos.
INSTALLATION / PARC DES BERGES panneau «publicitaire» de 6/8 m
L’affichage est une forme de communication commerciale omniprésente dans nos vies.
Il s’agit d’une forme de publicité orienté vers le consommateur. Quoi qu’on en pense,
l’affichage fait partie du paysage contemporain. Détourner le panneau publicitaire de sa première fonction de média d’information à un univers de poésie singulière, celui des peintures de Gonzalo. Nous permets de déplacer le point de vue du paysage actuel par des éléments picturaux abstraits qui côtoient la figuration pour que l’imaginaire qui réinvestit le réel.
ATELIERS / MAISON DES ASSOCIATIONS mercredi 3 et 10 juin 2015
Deux ateliers seront proposés aux enfants sur le thème de l’affichage, de l’utilisation de ce support pour déplacer la promotion à la poésie du paysage.
BERINAK III
PERFORMANCE
ATELIER
JUAN LE PARC
vit et travaille entre Cachan et Bali
http://www.juanleparc.com
Né en 1960 à Paris, il travaille depuis plusieurs années sur les formes de représentation du corps humain. En re- prenant les modifications corporelles de type anthropolo- gique et en les mélangeant avec une imagerie scientifique, il crée des univers plastiques remplis d’êtres hybrides, chimériques sortis d’imaginaires. Il déploie une tératologie artistique basée sur une esthétique de la monstruosité qui lui permet de disséquer les contradictions idéologiques qui sous-tendent les discours univoques sur la perfection du corps humain contemporain.
PERFORMANCE / SALLE LARREKO « Shadow Light »
Actuellement il développe des travaux scéniques, sonores et plastiques sur les interfaces homme- machine en temps réel comme par exemple Copy/Conform, Copy/Difform ou Dromopole et Shadow Light....
La performance est un diptyque de sa création en temps réel et
la diffusion d’une réalité transformée.
ATELIER / DU 25 AU 29 MAI 2015
Il propose un atelier avec une dizaine de personnes, de 4 jours où un travail plastique autour du masque et celui scénique seront développé autour de la notion de la rencontre, du masque, du sons. et de la lumière.
Né en 1960 à Paris, il travaille depuis plusieurs années sur les formes de représentation du corps humain. En re- prenant les modifications corporelles de type anthropolo- gique et en les mélangeant avec une imagerie scientifique, il crée des univers plastiques remplis d’êtres hybrides, chimériques sortis d’imaginaires. Il déploie une tératologie artistique basée sur une esthétique de la monstruosité qui lui permet de disséquer les contradictions idéologiques qui sous-tendent les discours univoques sur la perfection du corps humain contemporain.
PERFORMANCE / SALLE LARREKO « Shadow Light »
Actuellement il développe des travaux scéniques, sonores et plastiques sur les interfaces homme- machine en temps réel comme par exemple Copy/Conform, Copy/Difform ou Dromopole et Shadow Light....
La performance est un diptyque de sa création en temps réel et
la diffusion d’une réalité transformée.
ATELIER / DU 25 AU 29 MAI 2015
Il propose un atelier avec une dizaine de personnes, de 4 jours où un travail plastique autour du masque et celui scénique seront développé autour de la notion de la rencontre, du masque, du sons. et de la lumière.
BERINAK III
INSTALLATION
BERTRAND DEZOTEUX
vit et travaille entre Paris et Bayonne
Né à Bayonne en 1982, diplômé du Fresnoy en 2008, il réalise des films qui mêlent science-fiction, amateurisme et documentaire. Avec Le Corso (Prix jeune talent numérique de la Scam en 2008), il s’essaye au documentaire animalier en 3D. Avec Zaldiaren Orena, il retrace l’exploration du pays basque par un robot allemand pendant la Seconde Guerre mondiale. Cette vidéo a été produite à l’occasion de l’exposition Dynasty au Palais de Tokyo et au Musée d’art moderne de la ville de Paris en 2010. Cette même année, il participe à l’exposition Reset à la Fondation Ricard. En 2011, il conçoit avec ses deux frères l’émission de TV-réalité Sly’s Drivers, dont l’objectif est d’élever le niveau des pilotes de formule 1, dans le cadre du projet Reboot, initié par Christophe Kihm au Palais de Tokyo.
- La Maison des Jumelages - PROTOCOLE D’ACTIONS
Programme évolutif sur la durée de l’événement Berinak, en collaboration avec les habitants de St- Pée-sur-Nivelle. Plutôt que de présenter au public une œuvre destinée à la contemplation, ou au questionnement esthétique, je souhaite directement l’impliquer dans le processus de création, et faire de cette proposition une expérience de communication entre les différents participants. Cette envie vient dans mon travail à un moment où les questionnement plastiques liés à la production d’un objet fini disparaissent au profit d’une définition de l’œuvre comme processus qui crée des relations et des interactions entre les gens, les objets, les images.
Le principe de ce projet est de créer des jumelages. Quand il s’agit de villes, les démarches de jumelage visent à créer un lien entre deux lieux lointains, appartenant à des pays, des langues et des cultures différentes. D’ailleurs, ce qui motive le jumelage, c’est l’évidente différence qui définit ces deux lieux, et qui affirme leur singularité. Le jumelage célèbre un exotisme réciproque. Et pour entretenir ce lien, on s’invite, se fête, se visite, s’écrit. Mon projet pour Berinak viserait à jumeler les habitants de St-Pée-sur-Nivelle, du moins ceux qui désirent participer au projet. Ainsi, le jumelage ne concernerait pas ici le lien entre deux lieux, mais bien entre deux personnes qui vivent dans la même commune. Plutôt que de chercher à jumeler des êtres qui paraissent éloignés (géographi- quement, culturellement), ce projet fait l’hypothèse que l’ «autre» est le continent inconnu, et qu’il n’est pas forcément besoin de le chercher à l’autre bout de la planète, et que le voisin est tout aussi un mystère, une énigme insoluble.
La première étape pour la mise en oeuvre de ce projet serait de démarcher les habitants, afin de leur présenter le projet, et qu’ils s’engagent à y participer, s’ils le désirent.
Ce contrat engagerait les participants à suivre le protocole de jumelage pendant la durée de Beri- nak, à raison d’une activité tous les deux jours. Le contenu de ces activités serait diffusé à chacun par SMS, la veille, et fixerait diverses actions à effectuer avec/pour son jumeau : correspondance, échange de textes, d’objets, d’images, de dessins, se retrouver pour chanter, discuter d’un thème, visiter un lieu, s’imiter, etc ...
Les jumelages produiraient tous types de combinaisons, et associeraient des personnes d’âge et de sexe différents, ou au contraire, rapprocheraient des personnes de même âge et de même sexe. Un observateur (journaliste, poète, sociologue, etc) serait recruté pour réaliser un compte-rendu du projet, dans le but de produire une édition qui rassemblerait les productions des jumeaux, étayées par ledit compte-rendu.
Né à Bayonne en 1982, diplômé du Fresnoy en 2008, il réalise des films qui mêlent science-fiction, amateurisme et documentaire. Avec Le Corso (Prix jeune talent numérique de la Scam en 2008), il s’essaye au documentaire animalier en 3D. Avec Zaldiaren Orena, il retrace l’exploration du pays basque par un robot allemand pendant la Seconde Guerre mondiale. Cette vidéo a été produite à l’occasion de l’exposition Dynasty au Palais de Tokyo et au Musée d’art moderne de la ville de Paris en 2010. Cette même année, il participe à l’exposition Reset à la Fondation Ricard. En 2011, il conçoit avec ses deux frères l’émission de TV-réalité Sly’s Drivers, dont l’objectif est d’élever le niveau des pilotes de formule 1, dans le cadre du projet Reboot, initié par Christophe Kihm au Palais de Tokyo.
- La Maison des Jumelages - PROTOCOLE D’ACTIONS
Programme évolutif sur la durée de l’événement Berinak, en collaboration avec les habitants de St- Pée-sur-Nivelle. Plutôt que de présenter au public une œuvre destinée à la contemplation, ou au questionnement esthétique, je souhaite directement l’impliquer dans le processus de création, et faire de cette proposition une expérience de communication entre les différents participants. Cette envie vient dans mon travail à un moment où les questionnement plastiques liés à la production d’un objet fini disparaissent au profit d’une définition de l’œuvre comme processus qui crée des relations et des interactions entre les gens, les objets, les images.
Le principe de ce projet est de créer des jumelages. Quand il s’agit de villes, les démarches de jumelage visent à créer un lien entre deux lieux lointains, appartenant à des pays, des langues et des cultures différentes. D’ailleurs, ce qui motive le jumelage, c’est l’évidente différence qui définit ces deux lieux, et qui affirme leur singularité. Le jumelage célèbre un exotisme réciproque. Et pour entretenir ce lien, on s’invite, se fête, se visite, s’écrit. Mon projet pour Berinak viserait à jumeler les habitants de St-Pée-sur-Nivelle, du moins ceux qui désirent participer au projet. Ainsi, le jumelage ne concernerait pas ici le lien entre deux lieux, mais bien entre deux personnes qui vivent dans la même commune. Plutôt que de chercher à jumeler des êtres qui paraissent éloignés (géographi- quement, culturellement), ce projet fait l’hypothèse que l’ «autre» est le continent inconnu, et qu’il n’est pas forcément besoin de le chercher à l’autre bout de la planète, et que le voisin est tout aussi un mystère, une énigme insoluble.
La première étape pour la mise en oeuvre de ce projet serait de démarcher les habitants, afin de leur présenter le projet, et qu’ils s’engagent à y participer, s’ils le désirent.
Ce contrat engagerait les participants à suivre le protocole de jumelage pendant la durée de Beri- nak, à raison d’une activité tous les deux jours. Le contenu de ces activités serait diffusé à chacun par SMS, la veille, et fixerait diverses actions à effectuer avec/pour son jumeau : correspondance, échange de textes, d’objets, d’images, de dessins, se retrouver pour chanter, discuter d’un thème, visiter un lieu, s’imiter, etc ...
Les jumelages produiraient tous types de combinaisons, et associeraient des personnes d’âge et de sexe différents, ou au contraire, rapprocheraient des personnes de même âge et de même sexe. Un observateur (journaliste, poète, sociologue, etc) serait recruté pour réaliser un compte-rendu du projet, dans le but de produire une édition qui rassemblerait les productions des jumeaux, étayées par ledit compte-rendu.
BERINAK III
INSTALLATION
ELI JIMENEZ LE PARC
vit et travaille à Cachan
Elizabeth Jimenez Le Parc se sert de l’éclectisme de ses formations la sérigraphie, le design graphique, le mannequinat, le stylisme de mode, le yoga du son pour construire une approche personnelle et une esthétique particulière.
Elle se nourrit du corps, du trait, de la ligne, inspiration qui guide son œuvre liant le spirituel et la conscience du moment présent, méditatif et ritualiser.
Sa conscience spirituelle et picturale s’épanouissent lors d’un voyage rêvé en Inde - le rêve a besoin de réalité - La reconnaissance d’une logique géométrique propre aux hindous et aux amérindiens trame ses recherches artistiques.
Elle collabore avec Julio Le Parc depuis 1987.
INSTALLATION - RUE
« attrape rêve »
hauteur 478 cm / largeur 287 cm
Les attrapes rêves d’Eli Le Parc habitent l’espace. Sym- boles des rituels amérindiens leurs lumières s’adressent à nos imaginaires. L’attrape-rêve est un catalyseur d’énergies permettant d’attraper les mauvais rêves ou pensées négatives pour les faire disparaître à travers le son émis, tintinanbulant dans les tubes de percussions suspendus.
Il laisse passer les bons rêves et les énergies positives à travers le tissage minutieux en son centre, pour les dis- perser dans le village de Saint Pée sur Nivelle comme un flux bénéfique et bienfaisant.
Elizabeth Jimenez Le Parc se sert de l’éclectisme de ses formations la sérigraphie, le design graphique, le mannequinat, le stylisme de mode, le yoga du son pour construire une approche personnelle et une esthétique particulière.
Elle se nourrit du corps, du trait, de la ligne, inspiration qui guide son œuvre liant le spirituel et la conscience du moment présent, méditatif et ritualiser.
Sa conscience spirituelle et picturale s’épanouissent lors d’un voyage rêvé en Inde - le rêve a besoin de réalité - La reconnaissance d’une logique géométrique propre aux hindous et aux amérindiens trame ses recherches artistiques.
Elle collabore avec Julio Le Parc depuis 1987.
INSTALLATION - RUE
« attrape rêve »
hauteur 478 cm / largeur 287 cm
Les attrapes rêves d’Eli Le Parc habitent l’espace. Sym- boles des rituels amérindiens leurs lumières s’adressent à nos imaginaires. L’attrape-rêve est un catalyseur d’énergies permettant d’attraper les mauvais rêves ou pensées négatives pour les faire disparaître à travers le son émis, tintinanbulant dans les tubes de percussions suspendus.
Il laisse passer les bons rêves et les énergies positives à travers le tissage minutieux en son centre, pour les dis- perser dans le village de Saint Pée sur Nivelle comme un flux bénéfique et bienfaisant.
BERINAK III
WALL PAINTING
CONCERT
MAIA / BAPTISTE IBAR
vivent et travaillent entre Biarritz et New York
http://www.baptisteibar.com - http://maiaibar.com
Vivant alternativement entre le Pays Basque et New York, Maia et Baptiste IBAR sont tous les deux plasticiens, mu- siciens mais avant tout frère et soeur.
De cette convergence, originelle, transparaît des affinités, sensitives, sensorielles mais aussi chromatiques. Diplô- mée du New York StudioSchool, Maia Ibar utilise le mé- dium peinture comme un prolongement de ses pensées, de son imaginaire, dans un prisme d’expression alliant spirituel et formel. Diplômé en peinture de l’Ecole de De- sign de Rhode
Island, Baptiste a notamment collaboré avec le réalisateur Michel Gondry en créant une série de dessins « Disas- terology », paysage de catastrophes pour le film « La Science des Rêves ».
PERFORMANCE - ECOLE SAINT JOSEPH - WALL PAINTING
Pour BERINAK, leur convergence s’exprimera à 4 mains de manière inédite, sous la forme d’un wall painting situé sur le mur de l’école St Joseph à l’entrée du village de St Pée sur Nivelle.
CONCERT - SALLE LARREKO -
Également musiciens, ils développent depuis 2010 un duo électro psychédélique sous le nom de Dual Split et proposeront une performance musicale pour la soirée événementiel d’inauguration.
Vivant alternativement entre le Pays Basque et New York, Maia et Baptiste IBAR sont tous les deux plasticiens, mu- siciens mais avant tout frère et soeur.
De cette convergence, originelle, transparaît des affinités, sensitives, sensorielles mais aussi chromatiques. Diplô- mée du New York StudioSchool, Maia Ibar utilise le mé- dium peinture comme un prolongement de ses pensées, de son imaginaire, dans un prisme d’expression alliant spirituel et formel. Diplômé en peinture de l’Ecole de De- sign de Rhode
Island, Baptiste a notamment collaboré avec le réalisateur Michel Gondry en créant une série de dessins « Disas- terology », paysage de catastrophes pour le film « La Science des Rêves ».
PERFORMANCE - ECOLE SAINT JOSEPH - WALL PAINTING
Pour BERINAK, leur convergence s’exprimera à 4 mains de manière inédite, sous la forme d’un wall painting situé sur le mur de l’école St Joseph à l’entrée du village de St Pée sur Nivelle.
CONCERT - SALLE LARREKO -
Également musiciens, ils développent depuis 2010 un duo électro psychédélique sous le nom de Dual Split et proposeront une performance musicale pour la soirée événementiel d’inauguration.
BERINAK III
POINT INFO // EL ZENTRO
ANOUCK DURAND GASSELIN / LAURENT REDOULES
POINT INFO // EL ZENTRO
ANOUCK DURAND GASSELIN / LAURENT REDOULES
vivent et travaillent entre Paris et Toulouse
http://anouck-durand-gasselin.fr/
Née en 1975, Anouck Durand Gasselin vit et travaille à Paris. Tout d’abord photographe, depuis 2007, elle ré-interroge les fondamentaux de l’image en provoquant un phénomène natu- rel, la sporulation du champignon. En croisant ses activités de photographe et son intérêt toujours grandissant pour « l’esprit sauvage », elle continue d’explorer les relations profondes entre l’homme et la nature.
En 2013, au salon du dessin Drawing Now à Paris ou encore en 2012 « les Sporées » prennent la forme d’une exposition personnelle à la Galerie ALB intitulée Collections soutenue par le CNAP aprés avoir été exposée notamment en 2010 à la Cha- pelle St Jacques, Centre d’art contemporain de St Gaudens (31).
Né à Rodez en 1962, Laurent Redoules vit à Toulouse depuis 1983. Il produit et anime « Lesalonreçoit », galerie alternative qui propose un événement artistique tous les 22 du mois de 18h00 à 22h00 au 274 rue Henir Desbals à Toulouse.
INSTALLATION - FRONTON EL ZENTRO
« Notre proposition est de créer un centre. Un centre où l’on va se ressourcer et s’informer, un centre d’activités et de créa- tions alternatives et multiples à l’image du festival. »
Zentro voudrait rendre hommage à ce travail invisible de lenteur et file la métaphore du jardin pour re-qualifier le point info. De manière à mieux comprendre les artistes mis en lumière dans l’espace public du village St Pée sur Nivelle, nous proposons à chacun un petit espace de 3m2, un abri de jardin en forme de maisonnette dont la somme constitue Zentro.
Chaque artiste est invité à habiter cet abri de jardin. Ainsi les spectateurs auront accès à une partie plus « intime » plus « cachée » qui leur permettra d’enrichir leur relation aux oeuvres publiques.
Née en 1975, Anouck Durand Gasselin vit et travaille à Paris. Tout d’abord photographe, depuis 2007, elle ré-interroge les fondamentaux de l’image en provoquant un phénomène natu- rel, la sporulation du champignon. En croisant ses activités de photographe et son intérêt toujours grandissant pour « l’esprit sauvage », elle continue d’explorer les relations profondes entre l’homme et la nature.
En 2013, au salon du dessin Drawing Now à Paris ou encore en 2012 « les Sporées » prennent la forme d’une exposition personnelle à la Galerie ALB intitulée Collections soutenue par le CNAP aprés avoir été exposée notamment en 2010 à la Cha- pelle St Jacques, Centre d’art contemporain de St Gaudens (31).
Né à Rodez en 1962, Laurent Redoules vit à Toulouse depuis 1983. Il produit et anime « Lesalonreçoit », galerie alternative qui propose un événement artistique tous les 22 du mois de 18h00 à 22h00 au 274 rue Henir Desbals à Toulouse.
INSTALLATION - FRONTON EL ZENTRO
« Notre proposition est de créer un centre. Un centre où l’on va se ressourcer et s’informer, un centre d’activités et de créa- tions alternatives et multiples à l’image du festival. »
Zentro voudrait rendre hommage à ce travail invisible de lenteur et file la métaphore du jardin pour re-qualifier le point info. De manière à mieux comprendre les artistes mis en lumière dans l’espace public du village St Pée sur Nivelle, nous proposons à chacun un petit espace de 3m2, un abri de jardin en forme de maisonnette dont la somme constitue Zentro.
Chaque artiste est invité à habiter cet abri de jardin. Ainsi les spectateurs auront accès à une partie plus « intime » plus « cachée » qui leur permettra d’enrichir leur relation aux oeuvres publiques.
Abris de jardin en bois Bex
2.5m2
CULTIVER SON JARDIN
Cette expression très connue est une métaphore souvent utilisée pour qualifier le travail de création au quotidien, ce travail invisible et pourtant indispensable à l’émer- gence des formes abouties.
L’image du jardin nous rappelle la germination, la poussée, ce qui est en prémisse mais aussi le travail, la lenteur, la patience, la somme des gestes du jardinier pour faire mûrir. C’est aussi un espace par- ticulier, délimité (murs, murailles ou grillages) qui met à l’abri les fu- tures pousses.
CULTIVER SON JARDIN
Cette expression très connue est une métaphore souvent utilisée pour qualifier le travail de création au quotidien, ce travail invisible et pourtant indispensable à l’émer- gence des formes abouties.
L’image du jardin nous rappelle la germination, la poussée, ce qui est en prémisse mais aussi le travail, la lenteur, la patience, la somme des gestes du jardinier pour faire mûrir. C’est aussi un espace par- ticulier, délimité (murs, murailles ou grillages) qui met à l’abri les fu- tures pousses.
BERINAK III
LOTU
OEUVRE PARTICIPATIVE
PARTICIPATIVE / INTERACTIVE
En partenariat avec l’espace REFLEX, DONOSTI/San Sebastian
Depuis la première édition du parcours BERINAK/LesVitrines, notre volonté était de décloisonner la création contemporaine sur notre territoire. L’oeuvre participative LOTU s’engage dans cette pré- occupation.
Le 30 mai 2015, lors du vernissage du parcours à SENPERE/St-Pée, le premier volet de l’oeuvre participative « LOTU » tissera un pont virtuel, via Internet, avec les habitants de DONOSTI/St Sé- bastien. Ce dispositif d’échanges se matérialisera par l’émission de sons et d’images des perfor- mances de BERINAK III et le retour de textes, commentaires, écrits d’un public associé à DONOS- TI, mis en réseau par l’espace REFLEX.
Cet espace virtuel transcendant l’idée d’une frontière sera formalisé par un salon de tchat et une chaine live YOUTUBE.
A DONOSTI: Un dialogue se complétera entre des réactions écrites rédigées sur place sur twitter, whatsapp, etc... et une diffusion des images et sons de Senpere dans le réseau de lieux parte- naires,bar, galeries, sociétés.
A SENPERE : deux formes de diffusion des dialogues seraient présentés ; l’une à travers un prisme holographique où les mots en 3D évolueront dans un espace projeté ; l’autre, se présentera comme un sous-titre de l’oeuvre participative LOTU, avec des sms qui seront inscrits sur le bas de l’écran lors de la soirée à la salle Larreko.
Toujours en lien avec cette question du transfrontalière, le deuxième volet de « LOTU » se construi- ra sur le fly-case « la Médiathèque transfrontalière mobile » de l’espace REFLEX présenté lors du Parcours en libre consultation. Ce module source comprend une vingtaine de films et une centaine de livres traitant du transfrontalier. Il préparera l’intervention d’un ethnologue sous une forme de café littéraire, soulevant la relation
Depuis la première édition du parcours BERINAK/LesVitrines, notre volonté était de décloisonner la création contemporaine sur notre territoire. L’oeuvre participative LOTU s’engage dans cette pré- occupation.
Le 30 mai 2015, lors du vernissage du parcours à SENPERE/St-Pée, le premier volet de l’oeuvre participative « LOTU » tissera un pont virtuel, via Internet, avec les habitants de DONOSTI/St Sé- bastien. Ce dispositif d’échanges se matérialisera par l’émission de sons et d’images des perfor- mances de BERINAK III et le retour de textes, commentaires, écrits d’un public associé à DONOS- TI, mis en réseau par l’espace REFLEX.
Cet espace virtuel transcendant l’idée d’une frontière sera formalisé par un salon de tchat et une chaine live YOUTUBE.
A DONOSTI: Un dialogue se complétera entre des réactions écrites rédigées sur place sur twitter, whatsapp, etc... et une diffusion des images et sons de Senpere dans le réseau de lieux parte- naires,bar, galeries, sociétés.
A SENPERE : deux formes de diffusion des dialogues seraient présentés ; l’une à travers un prisme holographique où les mots en 3D évolueront dans un espace projeté ; l’autre, se présentera comme un sous-titre de l’oeuvre participative LOTU, avec des sms qui seront inscrits sur le bas de l’écran lors de la soirée à la salle Larreko.
Toujours en lien avec cette question du transfrontalière, le deuxième volet de « LOTU » se construi- ra sur le fly-case « la Médiathèque transfrontalière mobile » de l’espace REFLEX présenté lors du Parcours en libre consultation. Ce module source comprend une vingtaine de films et une centaine de livres traitant du transfrontalier. Il préparera l’intervention d’un ethnologue sous une forme de café littéraire, soulevant la relation
EGLISE/FRONTON
SAMEDI 30 MAI 2015
BERTSULARI
PERFORMANCE À L’ÉGLISE ST PIERRE
EN RELATION AVEC L’OEUVRE DE JULIO LE PARC
Les bertsulari, Maialen Lujanbio, Jon Maia, Xumai Murua et Eneritz Zabaleta proposeront une battle d’improvisations orales orchestrée par le gaiemaile Josu Goikoetxea. La scansion propre au bertsu, c’est à dire d’analyser la métrique ou plus précisément, d’en déterminer le schéma métrique sera un parallèle naturelle de construction à celle de l’œuvre d’art optique de Julio Le Parc. La déclamation du vers fera écho avec l’installation. La poésie de l’instant, partagée, faisant de l’Euskara, le maté- riaux d’une œuvre d’art à part entière.
TTOTELKA MINTXO GARCIA / PABLO ZARATIEGUI TXALAPARTA ÉLECTRONIQUE ET MOBILE
Txalaparta électronique et traditionnelle, alboka et flûte traversière
Des interventions sonores en relation avec le mouvement du public et des œuvres présent lors du Festival appuieront la notion de force réapproprié par le vent et les percussions.
ZOA XEPER COMPAGNIE DE DANSE / JOANA OLASAGASTI
Jeune danseuse contemporaine basque membre de la Compagnie barcelonaise, elle improvisera au sein de sa compagnie de danse, ponctuations dansées tout le long de l’après midi d’ouverture du Parcours.
BERTRAND DEZOTEUX CÉRÉMONIE DE JUMELAGES
Cet cérémonie engagerait les participants à suivre le protocole de jumelage pendant la durée de Be- rinak, à raison d’une activité tous les deux jours. Le contenu de ces activités serait diffusé à chacun par SMS, la veille, et fixerait diverses actions à effectuer avec/pour son jumeau : correspondance, échange de textes, d’objets, d’images, de dessins, se retrouver pour chanter, discuter d’un thème, visiter un lieu, s’imiter, etc ...
PASCALE FERRARI
ATELIER ET PERFORMANCE CULINAIRE
Atelier culinaire de 10 personnes max.
Pascale Ferrari « cueilleuse de nature » emmènera sur un chemin pour découvrir ou redécouvrir, ces herbes qu’on croit parfois mauvaises mais si bonne à croquer.
Installation culinaire, le jour du vernissage agrémenté de découvertes naturelles.
BERTSULARI
PERFORMANCE À L’ÉGLISE ST PIERRE
EN RELATION AVEC L’OEUVRE DE JULIO LE PARC
Les bertsulari, Maialen Lujanbio, Jon Maia, Xumai Murua et Eneritz Zabaleta proposeront une battle d’improvisations orales orchestrée par le gaiemaile Josu Goikoetxea. La scansion propre au bertsu, c’est à dire d’analyser la métrique ou plus précisément, d’en déterminer le schéma métrique sera un parallèle naturelle de construction à celle de l’œuvre d’art optique de Julio Le Parc. La déclamation du vers fera écho avec l’installation. La poésie de l’instant, partagée, faisant de l’Euskara, le maté- riaux d’une œuvre d’art à part entière.
TTOTELKA MINTXO GARCIA / PABLO ZARATIEGUI TXALAPARTA ÉLECTRONIQUE ET MOBILE
Txalaparta électronique et traditionnelle, alboka et flûte traversière
Des interventions sonores en relation avec le mouvement du public et des œuvres présent lors du Festival appuieront la notion de force réapproprié par le vent et les percussions.
ZOA XEPER COMPAGNIE DE DANSE / JOANA OLASAGASTI
Jeune danseuse contemporaine basque membre de la Compagnie barcelonaise, elle improvisera au sein de sa compagnie de danse, ponctuations dansées tout le long de l’après midi d’ouverture du Parcours.
BERTRAND DEZOTEUX CÉRÉMONIE DE JUMELAGES
Cet cérémonie engagerait les participants à suivre le protocole de jumelage pendant la durée de Be- rinak, à raison d’une activité tous les deux jours. Le contenu de ces activités serait diffusé à chacun par SMS, la veille, et fixerait diverses actions à effectuer avec/pour son jumeau : correspondance, échange de textes, d’objets, d’images, de dessins, se retrouver pour chanter, discuter d’un thème, visiter un lieu, s’imiter, etc ...
PASCALE FERRARI
ATELIER ET PERFORMANCE CULINAIRE
Atelier culinaire de 10 personnes max.
Pascale Ferrari « cueilleuse de nature » emmènera sur un chemin pour découvrir ou redécouvrir, ces herbes qu’on croit parfois mauvaises mais si bonne à croquer.
Installation culinaire, le jour du vernissage agrémenté de découvertes naturelles.
SAMEDI 30 MAI 2015
JUAN LE PARC
PERFORMANCE « SHADOW LIGHT »
AVEC LA CHANTEUSE SOPRANO
LAURA BUENROSTRO
Des pinceaux lumineux ( led ) font apparaître sans tru- cage, des personnages fantomatiques. Des ombres de lumière, captées par une caméra en temps réel, émergent et composent le tableau présenté en vidéo projection.
DUAL SPLIT
CONCERT ELECTRO PSYCHEDELIQUE
Dual Split est un duo basque-américain fondé en 2010 à Brooklyn.
Il est composé de Maia Ibar, au chant et percussions accompagnée de son frêre, Baptiste Ibar.
ZIIIG
DJ / VJ,
OEUVRE TRANSFRONTALIÈRE « LOTU »
avec les interventions vidéos d’Anne Marie jeannou
Au son de l’Happy Music, Siegfried Wappler revisite des samples de hit basque.
L’oeuvre participative LOTU viendra ponctuer cette soirée de mixe et de convergence ( cf projet LOTU )
JUAN LE PARC
PERFORMANCE « SHADOW LIGHT »
AVEC LA CHANTEUSE SOPRANO
LAURA BUENROSTRO
Des pinceaux lumineux ( led ) font apparaître sans tru- cage, des personnages fantomatiques. Des ombres de lumière, captées par une caméra en temps réel, émergent et composent le tableau présenté en vidéo projection.
DUAL SPLIT
CONCERT ELECTRO PSYCHEDELIQUE
Dual Split est un duo basque-américain fondé en 2010 à Brooklyn.
Il est composé de Maia Ibar, au chant et percussions accompagnée de son frêre, Baptiste Ibar.
ZIIIG
DJ / VJ,
OEUVRE TRANSFRONTALIÈRE « LOTU »
avec les interventions vidéos d’Anne Marie jeannou
Au son de l’Happy Music, Siegfried Wappler revisite des samples de hit basque.
L’oeuvre participative LOTU viendra ponctuer cette soirée de mixe et de convergence ( cf projet LOTU )
VIDEOS
Marcos Avila Forero
Cayuco, sillage Oujda / Melilla
un bateau disparaît en dessinant une carte - 2012 vidéoprojection HD, son, 55’ Edition 1/5
Il existe au Maroc une route qui représente la dernière étape pour chaque migrant clandestin sou- haitant s’installer en Europe. Elle va de la frontière (fermée) avec l’Algérie, prés de la ville d’Oudja, vers l’enclave espagnole de Melilla.
Une reproduction en plâtre d’un « Cayuco », embarcation de pêche souvent utilisée pour la traver- sée des clandestins a été déplacée d’une frontière à l’autre reprenant cette même route. Poussée et tirée à même le sol pendant plusieurs jours, la sculpture s’est usée peu à peu par son propre déplacement, dessinant son sillage, réminiscence blanche de son voyage jusqu’à la montagne de Gourougou, proche de Melilla. Cette vidéo retrace toute l’expérience le trajet parcouru, les paysages traversés, ainsi que les restes de l’embarcation en plâtre, une épave évoquant son propre naufrage.
Ferhat Özgür
Métamorphosis - 2009
vidéo couleur, son 9’25 Edition 5/5
La vidéo de Ferhat Ozgur met en scène la mère de l’artiste ainsi qu’une voisine, institutrice de carrière bavardant autour d’un thé. La mère de l’artiste porte un foulard, contrairement à son amie. Leur conversation se développe sur ce sujet. Les deux femmes décident alors de changer de rôles et commencent à échanger leurs vêtements.
L’influence de l’artiste en tant que réalisateur s’estompe à mesure que les femmes, en se laissant emporter par leur enthousiasme, deviennent leurs propres auteurs. Leur attitude amicale et géné- reuse, leur ouverture dans ce qui pourrait être considéré comme embarrassant, leur fou rire, l’en- semble de la scène raille la peur et la morale agressive qui interviennent dans les débats sur les symboles à connotations religieuse.
BERINAK III
Cayuco, sillage Oujda / Melilla
un bateau disparaît en dessinant une carte - 2012 vidéoprojection HD, son, 55’ Edition 1/5
Il existe au Maroc une route qui représente la dernière étape pour chaque migrant clandestin sou- haitant s’installer en Europe. Elle va de la frontière (fermée) avec l’Algérie, prés de la ville d’Oudja, vers l’enclave espagnole de Melilla.
Une reproduction en plâtre d’un « Cayuco », embarcation de pêche souvent utilisée pour la traver- sée des clandestins a été déplacée d’une frontière à l’autre reprenant cette même route. Poussée et tirée à même le sol pendant plusieurs jours, la sculpture s’est usée peu à peu par son propre déplacement, dessinant son sillage, réminiscence blanche de son voyage jusqu’à la montagne de Gourougou, proche de Melilla. Cette vidéo retrace toute l’expérience le trajet parcouru, les paysages traversés, ainsi que les restes de l’embarcation en plâtre, une épave évoquant son propre naufrage.
Ferhat Özgür
Métamorphosis - 2009
vidéo couleur, son 9’25 Edition 5/5
La vidéo de Ferhat Ozgur met en scène la mère de l’artiste ainsi qu’une voisine, institutrice de carrière bavardant autour d’un thé. La mère de l’artiste porte un foulard, contrairement à son amie. Leur conversation se développe sur ce sujet. Les deux femmes décident alors de changer de rôles et commencent à échanger leurs vêtements.
L’influence de l’artiste en tant que réalisateur s’estompe à mesure que les femmes, en se laissant emporter par leur enthousiasme, deviennent leurs propres auteurs. Leur attitude amicale et géné- reuse, leur ouverture dans ce qui pourrait être considéré comme embarrassant, leur fou rire, l’en- semble de la scène raille la peur et la morale agressive qui interviennent dans les débats sur les symboles à connotations religieuse.
BERINAK III
COMMISSAIRES D’EXPOSITIONS
ANNE-MARIE JEANNOU anma4@mac.com // 00 33 6 63 71 49 62
INAKI VIQUENDI
iviquendi@gmail.com // 00 33 6 15 51 44 05
DÉVELOPPEMENT / COMMUNICATION
CECILE CANO
cix.design@gmail.com // 00 33 6 88 59 62 11
PRESSE
FRANCK DOLOSOR dolosor@hotmail.com // 00 33 6 58 39 91
ANNE-MARIE JEANNOU anma4@mac.com // 00 33 6 63 71 49 62
INAKI VIQUENDI
iviquendi@gmail.com // 00 33 6 15 51 44 05
DÉVELOPPEMENT / COMMUNICATION
CECILE CANO
cix.design@gmail.com // 00 33 6 88 59 62 11
PRESSE
FRANCK DOLOSOR dolosor@hotmail.com // 00 33 6 58 39 91